Le 17 février 2012, le laboratoire «CERVA» de Bruxelles a confirmé une infection au virus de Schmallenberg dans un troupeau de moutons situé dans le nord du Luxembourg.
Après l’Allemagne, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Belgique et la France, notamment les départements de la Moselle et de la Meurthe-et-Moselle, c’est au tour du Grand Duché d’être touché par le virus.

La nouvelle est parue dans un communiqué du gouvernement lundi 20 février.
Il s’agit d’un virus qui atteint essentiellement les ruminants, tels que les moutons, les chèvres, et les bovins.
Les symptômes de cette maladie se caractérisent par des déformations néonatales sur des nouveau-nés, souvent non viables et par des symptômes généraux (fièvre, diarrhée, diminution de la production laitière) de courte durée chez les animaux adultes.
Le virus se transmet d’animal à animal par l’intermédiaire d’insectes, les culicoïdes et les moustiques.
Il s’agit d’une maladie animale, ainsi une transmission à l’homme, soit par contact direct, soit par l’intermédiaire de produits animaux (lait, viande) peut, à l’heure actuelle, être exclue selon l’Administration des services vétérinaires.
Le 17 février 2012, le laboratoire «CERVA» a confirmé un cas d’infection au virus de Schmallenberg dans un troupeau de moutons situé dans le nord du Luxembourg.